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index2Peut-on parler du forfait pénitencier ? Si l’on se pose réellement la question, le forfait pénitencier pourrait ressembler au forfait hospitalier. Lorsqu’un patient se trouve dans l’obligation de se faire hospitaliser pour une raison ou une autre, le forfait journalier d’hospitalisation en vigueur s’applique. Le patient est obligé de s’acquitter de ses frais de séjour en fonction du nombre de jours d’hospitalisation. Hormis le remboursement de ses frais par sa mutuelle (qu’il paye de sa poche) si il en a une, il doit payer.

Ce serait pas inintéressant d’utiliser le même procédé envers les détenus et faire régler aux familles la facture d’un forfait journalier dont le montant serait fixé par la loi. Pourquoi pas ? On ne peut rarement prévenir à l’avance un problème de santé, toutefois ce n’est pas la même chose d’une personne qui commet des faits délictueux ou criminels qui doit rendre des comptes à la société. Dans certains pays comme les Pays Bas, le Danemark dépassés par les faits de violence et l’émigration, ne veulent plus assumer seuls la charge des détenus alors ils font payer aux familles un forfait de 16€ par jour de détention tout comme la Suisse qui fait régler les repas des détenus. Ces mesures sont destinées à participer ainsi aux frais de justice et d’emprisonnement, et aux dépenses liées à l’investigation de leurs crimes et délits et à l’assistance aux victimes. C’est trop facile de franchir la porte France et d’obtenir tous les avantages sociaux et de plus avoir des comportements délictueux ou criminels. Nos concitoyens subissent la double peine financière qu’il faut supporter. Il est urgent que nos dirigeants réagissent pour éradiquer le phénomène de violence qui sévit à grande échelle dans notre pays et qui engorge nos prisons. Si rien n’est fait dans les mois et les années à venir c’est tout notre système social qui va s’effondrer. On ne peut pas payer définitivement pour tout le monde et quand il y a des comportements illicites ces personnes doivent assumer, payer la contribution ou retourner au pays s’il s’agit de migrants en situation irrégulière.

Des mesures qui ne seraient pas inutiles, car nos prisons seraient moins bondées, le déficit public serait limité et l’état ne serait pas obligé de taxer toujours les classes moyennes et les plus pauvres comme par exemple les retraités.

Alain Verdin