Les Français sont dépités, ils paient de plus en plus d’impôts, ils ont exprimés un ras le bol général qui s’est transformé en pugilat dans les rues avec des violences et des dégradations sans précédent dans la plupart de nos villes françaises et surtout à Paris visant surtout des symboles de notre république comme l’Arc de Triomphe souillé et l’emplacement de la flamme du soldat inconnu piétiné. Ne mélangeons pas tout car au sein du mouvement de protestation des gilets jaunes se mêlent des casseurs d'ultra gauche, des black blocs profitant de l’occasion pour déclencher des actes de violences partout en France et pousser à l’insurrection voire à la guerre civile.
La situation est grave, les citoyens sont acculés de charges fiscales trop importantes, ils n’ont plus de quoi finir leur fin de mois pour assurer la subsistance de leur famille, de payer leurs charges courantes au sein de leur foyer comme l’électricité, le gaz, le carburant, l’entretien de la voiture etc...
La coupe est pleine et à ce rythme de réformes avec un Président Macron, un hubris qui n’entend pas son peuple qui s’enfonce de plus en plus dans la misère sociale, son obstination de ne pas vouloir changer de cap ne passe plus et le peuple ne l’écoute plus, ils ont l’impression d’avoir à faire à un Président qui ne pense qu’à lui, la peur du lendemain s’est installée, la pression monte. Le ras-le-bol fiscal qui monte des profondeurs de notre pays, transcende tous les clivages politiques, toutes les classes sociales que ce soit chez les ouvriers ou les Cadres qui considèrent que leurs impôts ont trop augmenté. Devant cette pression populaire l’obstination à ne pas comprendre ses concitoyens, leurs revendications, leurs préoccupations personnelles pourraient conduire à l’impasse et au chaos. Le Président Macron à une vision européiste et mondialiste, il a montré depuis le début de son quinquennat qu’il ne changerait pas de cap sur son programme.
De plus ce sont les mêmes Français qui paient de plus en plus d’impôts et en même temps font l’objet de cambriolages, d’agressions ou de rapines. L’impôt est justifié quand l’État qui le perçoit assure la sécurité des biens et des personnes. Ce n’est plus le cas, l’impôt est utilisé de manière punitive, comportementaliste, pour satisfaire quelques écologistes hirsutes.
Le ras-le-bol fiscal monte des profondeurs de notre pays, transcende tous les clivages politiques, toutes les classes sociales que ce soit chez les ouvriers ou les cadres qui considèrent que leurs impôts sont trop lourds.