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fiscaliteOn pensait qu’il serait difficile d’égaler ou de battre l’ancien Président François Hollande en matière de racket fiscal. Décidément la malédiction de la Vème République semble définitivement résider dans le fait que chaque président réussi à faire regretter le précédent.

En début de son mandat, Macron prévoyait de revenir à l’équilibre des comptes publics: en piquant dans les poches des autres, jamais en économisant. D’ailleurs, avez-vous entendu parler, de la part de ce gouvernement d’une seule réforme structurelle visant à diminuer la dette publique ?

Tout ce que nous avons entendu parler relève de transferts de charges : on bascule des dépenses de l’État sur les collectivités territoriales ; on transfère des dépenses de la Sécurité sociale aux entreprises ; on fait payer les propriétaires, etc….Mais on ne réduit jamais la dépense publique.

Nous avons déjà eu la hausse de la CSG de plus de 22 milliards d’euros, et nous attendons toujours la diminution tant annoncée en échange des cotisations sociales sur les entreprises !

La seule baisse que nous avons eu c’est la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes départementales, dont tout le monde sait que c’est principalement un moyen de remplir les caisses de l’État. Bref, la fiscalité est encore plus forte sous Macron que sous Hollande.

Chacun a le culte de l’exploit personnel. Des comportements souvent fondés sur la théâtralisation de soi-même, l’aptitude à réagir aux situations où exclusion sociale auxquels ils se confrontent en faisant des choix souvent inadaptés et peu judicieux

Alain Verdin